C’est aujourd’hui la journée mondiale de lutte contre le most cancers. Certains sont plus fréquents, en Guadeloupe que dans l’Hexagone, comme celui de la prostate. Actuellement, une vaste campagne de dépistage du most cancers de l’utérus est proposée aux femmes de 25 à 65 ans.
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Comme tous les four février, la planète célèbre aujourd’hui la Journée mondiale de lutte contre le most cancers. Il s’agit d’une campagne de sensibilisation, sur le most cancers, organisée par l’UICC (Union internationale contre le most cancers).
Ce terme, “most cancers”, devrait en fait s’utiliser au pluriel : il évoque plusieurs maladies qui se caractérisent par la multiplication et la propagation de cellules anormales, dans l’organisme. Leur évolution dépend du sort de most cancers dont il s’agit, de sa prise en cost médicale (si elle a lieu), du délai de cette prise en cost et, comme nous ne sommes pas tous égaux face aux maux, de l’individu.
Le most cancers dans le monde
Les chiffres relatifs au most cancers sont propices à donner le tournis.
Le most cancers est la deuxième trigger de décès, dans le monde.
9,6 hundreds of thousands de personnes en meurent, chaque année, à travers le globe. 65% décès surviennent dans des pays pauvres ou intermédiaires.
Près d’un tiers des cancers les plus courants sont évitables.
Cette maladie plurielle génère un coût annuel international estimée à près de 1,16 billion sde dollars.
Pourtant, la mise en place de stratégies et de ressources adéquates, en faveur de la prévention, du dépistage précoce et du traitement pourrait sauver three,7 hundreds of thousands de vies ; cela, chaque année.
Le most cancers en Guadeloupe
La Guadeloupe n’est pas épargnée par le most cancers, même si les chiffres restent globalement plus bas que ceux enregistrés dans l’Hexagone. Mais cette incidence est vulnerable d’augmenter, en raison du vieillissement de la inhabitants.
Néanmoins, certaines pathologies sont plus fréquentes sur notre territoire, qu’outre-Atlantique, comme les cancers de la prostate, du col de l’utérus ou encore de l’estomac, d’après un rapport, publié en janvier 2019, par Santé Publique France et l’Institut Nationwide du Most cancers. Ces pathologies, localement, sont marquées par une plus forte mortalité.
Globalement, un peu plus de 1 500 nouveaux cas sont diagnostiqués, chaque année, dans le département.
62% d’entre eux concernent des hommes ; plus de la moitié d’entre eux est touchée par un most cancers de la prostate. Ce most cancers est, donc, le plus fréquent, au sein de la gente masculine, bien davantage que les affections du colon et de l’estomac.
Chez la femme, le most cancers du sein, en forte augmentation, a le plus fort taux de prévalence, soit près de 37%. Viennent ensuite le most cancers colorectal, du col de l’utérus.
660 décès par an sont à déplorer, sur notre territoire, là aussi, majoritairement des hommes.
Quant aux disparités entre la France Hexagonale et la Guadeloupe, Santé Publique France et l’Institut Nationwide du Most cancers les attribuent aux caractéristiques ethno-géographiques et socio-économiques. Elles sont aussi dues, selon les spécialistes, aux modifications de nos modes de vie et à la air pollution, par les pesticides, particulièrement la chlordécone.
Zoom sur le dépistage du most cancers du col de l’utérus
Depuis le 18 janvier 2021, le Centre régional de coordination du dépistage des cancers (CRCDC 971, anciennement l’Agwadec) organise une vaste campagne de dépistage organisé du most cancers du col de l’utérus (DOCCU).
Durant les semaines à venir, les femmes de 25 à 65 ans, sans examen de dépistage depuis three ans, recevront une invitation.
Plus de 7000 invites ont été lancées, dans un premier temps, à locations des femmes concernées.
Le most cancers de l’utérus touche 180 personnes, chez nous, tous les ans.
Cette pathologie peut être guérie dans 90% des cas, si la patiente est prise en cost à temps.
Le dépistage est conseillé, tous les three ans, pour les femmes de 25 et 30 ans, et tous les 5 ans, pour celle âgées de 30 à 65 ans.
Le DOCCU se déroule durant un mois, sur l’ensemble de l’archipel, mais aussi dans les îles du Nord.
Le Docteur Véronique Baurhys-Espian rappelle que le fait de réaliser un frotti peut sauver des vies.
Le médecin coordonnateur du CRCDC répond à Claude Danican :
Docteur Véronique Baurhys-Espian : “Moins d’une femme sur deux se fait dépister”
Alors, invitation ou pas, homme ou femme, quelque-soit votre état de santé, pensez à procéder régulièrement à un dépistage… pour vivre sans avoir à vous frotter à un most cancers incurable.