REGIONALES 2021. La campagne des élections régionales 2021 est lancée. Qui sont les candidats en lice ? Quels sont les résultats des sondages ? Le level complet avec les infos pratiques et les dernières actualités de ces élections.
L’essentiel
- Les élections régionales approchent : le premier tour est organisé le 20 juin, le second le 27 juin, les mêmes jours que les élections départementales.
- Les Français élisent lors de ces élections 1758 conseillers régionaux, désignent les majorités et les présidents à la tête de chaque grande région.
- Toutes les candidats ont rendu publiques leurs listes. Découvrez tous les candidats aux élections régionales 2021 dans chaque région et dans chaque département sur cette page du ministère de l’Intérieur.
- De premiers sondages permettent d’évaluer les rapports de drive qui se dessinent dans les différentes régions. Retrouvez sur cette web page les résultats de ces enquêtes, les informations pratiques et les dernières actualités de la campagne de ces élections régionales 2021.
Dernières actus
12:32 – Marine Le Pen évoque un “high three des régions gagnables”
Le Rassemblement nationwide est déterminé à s’imposer lors des ces élections régionales, et la cheffe du parti estime que la victoire est potential par endroit. La Bourgogne-Franche-Comté fait partie des terres convoitées. “Il est sûr que nous avons failli gagner cette région la dernière fois, que la confiance des électeurs se fait de plus en plus solide, élection après élection. Donc oui, bien sûr, la Bourgogne-Franche Comté fait partie du high trois des régions gagnables”, a déclaré Marine Le Pen, en déplacement à Chalon-sur-Saône ce mardi 25 mai, pour soutenir Julien Odoul. En revanche, la candidate à l’élection présidentielle de 2022 n’a rien laissé fuiter sur les deux autres régions du fameux “high three”. La Provence-Alpes-Côte d’Azur en fait certainement partie, son poulain Thierry Mariani y est premier dans les intentions de vote selon les derniers sondages. Quant aux deux autres régions pouvant figurer dans le triptyque, ils s’agit peut-être du Centre-Val de Loire où le candidat RN inconnu du grand public, Alexsandar Nikolic arrive en tête des intentions de vote au premier et au second tour mais est talonné par le socialiste François Bonneau, et des Hauts-de-France où Sébastien Chenu maintient sa deuxième place mais reste derrière le président sortant. En 2015, lors des dernières élections régionales, le parti d’extrême-droite encore nommé Entrance nationwide misait sur “quatre à cinq régions gagnables”. Aujourd’hui les objectifs sont légèrement revus à la baise mais à un mois du second tour, les scores des candidats sont meilleurs qu’il y a six ans.
10:24 – Xavier Bertrand donné vainqueur des élections quel que soit le scénario
Dans les Hauts-de-France, Xavier Bertrand est en route pour briguer un second mandat à la tête de la région et le candidat semble convaincre plus du tiers des électeurs. Le dernier sondage Harris Interactive pour Challenges, diffusé ce 25 mai, le hisse en tête des intentions de vote au premier tour avec 35% des suffrages et une légère avance sur la liste du Rassemblement nationwide qui cumule 30% des voix. Les autres listes font moins le plein, la gauche unifié obtient l’adhésion de 19% des électeurs quant à La République en Marche elle plafonne à 11%. Cette nouvelle enquête confirme l’effet limité, presque imperceptible, de l’arrivée d’Eric Dupond-Moretti sur la liste de la majorité présidentielle. Debout la France, Lutte Ouvrière et le Partis des citoyens européens voient leur probability d’accéder au second tour s’envoler avec 1 à 2% des voix chacun.
Et le scénario observé lors du premier scrutin have a tendency à se répéter pour le deuxième tour des élections à la différence près que le président sortant creuse doucement l’écart avec son adversaire d’extrême-droite. Xavier Bertrand l’emporterait avec 37% des suffrages alors que Sébastien Chenu resterait en deuxième place avec 30% des voix, l’ordre reste donc inchangé avec en suivant la liste de gauche (21%) et le candidat de LREM (12%) dans l’hypothèse d’une quadrangulaire. Si le second tour se joue sur une triangulaire, on prend les mêmes à l’exception du candidat macroniste et on recommence : Xavier Bertrand (45%), Sébastien Chenu (31%) et Karima Delli en queue de peloton (24%)
25/05/21 – 23:17 – Nouveau sondage en Auvergne-Rhône-Alpes : Laurent Wauquiez en tête
Le président sortant n’a pas de soucis à se faire pour les prochaines régionales, d’après un dernier sondage Ifop-Fiducial, pour Lyon Capitale. Laurent Wauquiez caracole en tête des intentions de vote avec 36 % des voix au premier tour dans la région Auvergne-Rhône-Alpes. Au second tour, le président-candidat devance de dix factors, à la fois la liste d’Union de la gauche et celle du Rassemblement nationwide. La popularité de Laurent Wauquiez est en hausse, puisqu’un sondage réalisé en novembre dernier le positionnait cinq factors plus bas. En campagne depuis deux semaines, le candidat des Républicains semble miser sur les questions de sécurité pour conquérir le cœur des électeurs.
25/05/21 – 21:52 – La candidature de la ministre Agnès Pannier-Runacher crée une double polémique
Décidément, la candidature de la ministre déléguée à l’Industrie fait couler beaucoup d’encre. Lundi 24 mai, nos confrères de Politico révélaient qu’Agnès Pannier-Runacher s’était installée chez son compagnon “la veille de la date de dépôt des listes” du parti majoritaire pour les élections régionales. Candidate sur la liste LREM – mais en place non éligible – dans les Hauts-de-France, sa nouvelle adresse à Lens (Pas-de-Calais) justifierait la présence de la ministre dans la région, malgré son manque d’attaches locales. Mais ce n’est pas tout ! Son conjoint, Nicolas Bays, était également son chef de cupboard jusqu’au mois de mai dernier. Or, rappelle le média Politico, les membres du gouvernement ne peuvent pas “compter parmi les membres de leur cupboard leur conjoint (…) ou concubin”, selon la loi de 2017 sur la transparence de la vie publique. Si, depuis, Nicolas Bays n’occupe plus son poste, l’affaire du domicile révèle quelques couacs quant à la candidature d’Agnès Pannier-Runacher. Le non-respect de ce règlement peut entraîner trois ans d’emprisonnement et jusqu’à 45 000 euros d’amende, relève Politico. La scenario pourrait également être un motif d’invalidité pour l’ensemble de la liste.
25/05/21 – 17:53 – Les alliances sont à la peine pour le premier tour des régionales
Le jeu des alliances a par second semé la zizanie au sein des familles politiques historiques, le spectre d’un accord LR-LREM en Provence-Alpes-Côte d’Azur suscite encore l’ire de certains Républicains et la gauche essuie les échecs pour s’unir sur une seule et même liste. Pourtant si les négociations étaient nombreuses avant le 17 mai, peu d’union ont été actées pour ce premier scrutin et lorsqu’il y en a ils sont sans shock. La République en Marche et le Mouvement démocratique font ainsi la course ensemble dans onze régions métropolitaines et Les Républicains se sont associés à l’Union des Démocrates indépendants à neuf reprises.
Du côté de la gauche les alliances se sont faites au cas par cas, entre le Parti socialiste, le Parti communiste, Europe-Ecologie-Les Verts et La France Insoumise les humeurs ne sont pas au beau fixe mais il faut reconnaître que le PS et le PCF sont les plus constants avec neuf alliances. Tandis que La France Insoumise reste le parti à la marge de la gauche et les écologistes, forts de la obscure verte des municipales, estiment être les mieux placés pour porter une liste de gauche et à défaut mènent seuls leur propre barque. Les Hauts-de-France font donc determine d’exception avec une gauche unie, mais là encore tous les désaccord n’ont pas été mis de côté entre les famille politiques. Les extrêmes quant à eux, qu’ils s’agissent de Lutte Ouvrière ou du Rassemblement Nationwide, suivent leur chemin en solitaire mais comptent sur l’adhésion des électeurs de tous les horizons.
25/05/21 – 16:32 – L’année de pandémie sert d’argument aux candidats de Lutte Ouvrière
Les candidats de Lutte Ouvrière retournent au entrance à chaque élection pour défendre leur projet et “le camp des travailleurs”, cette année ils redoublent d’efforts et opposent un nouvel argument : l’influence de la pandémie sur l’emploi, l’économie et la nouvelle visibilité des travailleurs de première ligne. “Après cette année de pandémie on a vu vraiment apparaître ce camp. (…) On l’a vu chez ceux qui sont allés travailler dans les usines, sur les chantiers, qui ont continué à faire tourner les caisses dans les supermarchés, à ramasser les ordures… Tous ceux finalement qui ont continué à faire fonctionner les choses malgré l’épidémie et qu’on a envoyé au entrance et sans arme la plupart du temps. Je me présente pour représenter ce camp-là (…) dont on a bien vu qu’il était indispensable pour faire fonctionner la société” défendait Claire Rocher, candidate LO en Bourgogne-Franche-Comté, auprès du web site Infos.Dijon avant de regretter : “Là, c’est fini, les héros, on n’en parle plus. D’un coup d’un seul, nos problèmes d’avoir un emploi, d’avoir un salaire qui nous permette de vivre, ça disparaît derrière des enjeux soi-disant régionaux qui sont beaucoup les préoccupations du pouvoir et des notables.”
Si les arguments sont renouvelés, les projets restent identiques : donner le pouvoir aux travailleurs. “On est la seule classe utile, on est la classe qui produit les richesses. C’est nous qui faisons tourner les choses. (…) On fait déjà le plus difficile dans cette société. C’est nous qui faisons en sorte que les marchandises soient produites, transportées, que les enfants soient éduqués, que les enfants soient soignés. C’est les travailleurs qui devraient diriger la société, pas une minorité de parasites qui ne savent que vivre sur le travail des autres.” Une minorité qui selon la candidate n’est venue en aide qu’aux entreprises, à sauver l’économie en dépit de l’emploi. La crise et sa gestion par le gouvernement peuvent selon Claire Rocher entrainer plus d’adhésion à sa liste : “La liste Lutte Ouvrière permet (aux travailleurs d’affirmer) leur camp plutôt que de (se) résigner à choisir entre des politiciens dont ils savent pertinemment qu’ils ne les représentent pas, qu’ils ne travaillent pas pour eux et qu’ils sont là uniquement pour gérer cette société au revenue des riches parce qu’elle est faite pour ça.”
25/05/21 – 15:11 – Audrey Pulvar et Gérald Darmanin se menacent, puis amorcent un apaisement
Le ministre de l’Intérieur a fait savoir ce week-end qu’il comptait porter plainte pour diffamation contre la candidate du PS aux régionales en Île-de-France. En trigger ? Des propos qu’Audrey Pulvar a tenus le 23 mai, jugeant que la manifestation des policiers ce jour-là “soutenue par l’extrême droite, à laquelle participe un ministre de l’Intérieur, qui marche sur l’Assemblée nationale pour faire pression sur les députés en prepare d’examiner un texte de loi concernant la justice” était “une picture assez glaçante”. Les companies du ministère de l’Intérieur avaient aussi mentionné d’autres propos de la candidate, qui avait pointé “le racisme dans la police” en 2020. Audrey Pulvar a quant à elle réagi dimanche en annonçant qu’elle allait porter plainte contre le ministre de l’Intérieur pour “dénonciation calomnieuse.
Ce mardi 25 mai, Gérald Darmanin a changé de ton. Sur Twitter, il a écrit : “J’ai entendu, ce matin, les propos de madame Audrey Pulvar sur LCI explicitant clairement que, pour elle, la police n’était pas raciste. J’en prends acte. Je lui suggest de la rencontrer dans les prochains jours”. Audrey Pulvar a fait savoir qu’elle acceptait cette proposition pour avoir des “éclaircissements” de la half du ministre. La plainte de Gérald Darmanin n’a pas était déposée pour le second, il n’est pas exclu qu’elle soit abandonnée.
25/05/21 – 09:51 – Marlène Schiappa en campagne, suggest de créer des salles de repos pour les livreurs des plateformes
Selon une data de 20 minutes, la tête de liste LREM à Paris aux élections régionales en Île-de-France, Marlène Schiappa, suggest de créer des salles de repos pour les livreurs des plateformes, telles que Uber Eats, Deliveroo, Simply Eat. “Beaucoup de livreurs habitent en grande banlieue, viennent à Paris ou en proche banlieue pour travailler le midi et le soir mais entre 15 et 18 heures, ils ne peuvent rentrer chez eux et ils n’ont pas d’endroit où se poser” explique-t-elle. “La première étape sera de quantifier le nombre de livreurs, la seconde de réaliser une cartographie de l’Ile-de-France avec les factors névralgiques où les livreurs attendent. Puis avec les collectivités, il faudra trouver des lieux pour accueillir les livreurs entre leurs programs (…) En tant que consommateur, on veut être livré vite, sans que ce soit renversé. Mais on se doit d’être solidaire des circumstances de travail difficiles des livreurs qui sont le nouveau prolétariat ubérisé. Cost aux plateformes de trouver l’équilibre économique” justifie-t-elle.
24/05/21 – 16:13 – Nouveau sondage en Île-de-France : Valérie Pécresse en tête
L’actu du 24 mai : Un dernier sondage vient de paraître dans le JDD, confirmant les tendances précédentes, et l’assise de Valérie Pécresse. Réalisé par l’Ifop-Fiducial à la demande du JDD, cette étude place Valérie Pécresse, présidente sortante de la région Île-de-France, en tête des intentions de vote au premier tour avec 33% des personnes interrogées qui pensent voter pour elle. Selon ce sondage, Valérie Pécresse convainc à droite, mais également dans les camps macronistes. Un tiers des personnes interrogées qui ont voté pour Emmanuel Macron en 2017 auraient l’intention de voter pour elle à ces élections régionales, et non pour le candidat LREM Laurent Saint-Martin.
En deuxième place, Valérie Pécresse est suivie de loin par le candidat RN Jordan Bardella et celui de la majorité présidentielle Laurent Saint-Martin, au coude à coude avec respectivement 16 et 15% des intentions de vote. En quatrième place à cette élection, on attend l’un des trois candidats de gauche, avec pour le second une avance minime de Julien Bayou, le candidat vert, avec 11%, tandis qu’Audrey Pulvar (PS) et Clémentine Autain (LFI, PCF) sont à égalité avec 10% des intentions de vote chacune.
En savoir plus
Sauf nouveau revirement, les élections régionales auront lieu les dimanches 20 et 27 juin 2021. Programmé au mois de mars, le scrutin a été reporté une première fois, compte tenu de la crise sanitaire du Covid-19, qui rendait difficile l’organisation de la campagne en début d’année. Ce report a d’abord été proposé dans un projet de loi, voté en première lecture par l’Assemblée nationwide le 10 février. Ce changement de dates avait été recommandé par Jean-Louis Debré, missionné par le gouvernement pour évaluer les circumstances d’organisation des régionales en 2021. Son rapport avait fait émerger cette proposition. Le 26 janvier, les sénateurs avaient voté en première lecture le projet de loi prévoyant que “le prochain renouvellement général des conseils départementaux, des conseils régionaux, de l’Assemblée de Corse et des assemblées de Guyane et de Martinique aura lieu en juin 2021”.
La scenario épidémique au printemps 2021 crée toutefois quelques incertitudes concernant les dates des élections régionales et départementales. Jean Castex a présenté un nouveau calendrier devant l’Assemblée nationale le 13 avril, reportant les scrutins d’une semaine. Les députés ont validé ce report à une massive majorité. Le premier tour de l’élection prévu le 13 juin est fixé au 20 juin, le second tour prévu le 20 juin a lieu le 27 juin.
Un sondage Opinion Way pour Les Echos, effectué du 16 au 22 mars 2021, donne des intentions de vote à l’échelle nationale, par formation politique. Les résultats sont les suivants : LR et alliés : 23% ; RN : 21% ; LREM / MoDem : 16% ; EELV : 13% ; PS et alliés : 12% ; LFI : 7% ; DLF : three% ; LO : 2% ; Autre : three%.
- Selon cette enquête, le Parti socialiste est donné favori en Bretagne, en Nouvelle Aquitaine, dans la région Occitanie, en Bourgogne-Franche-Comté.
- Le parti Les Républicains est donné favori en Île-de-France, en Normandie, dans les Hauts-de-France, dans la région Grand-Est, en Auvergne-Rhône-Alpes, en Centre-Val-de-Loire et en Loire-Atlantique.
- Le Rassemblement nationwide est donné favori dans la région Provence-Alpes-Côte-d’Azur.
Comme le prévoit le code électoral, pour participer au vote, il faut être de nationalité française, être majeur, être inscrit sur une liste électorale, ne pas être privé de ses droits civils et politiques.
Les résultats des régionales sont régis par un système qui mix les règles des scrutins majoritaire et proportionnel. En clair, si une liste recueille la majorité des voix exprimées au premier tour (c’est-à-dire plus de 50 %), elle obtient le quart des sièges à pourvoir. Les autres sièges sont alors répartis proportionnellement entre toutes les listes ayant obtenu au moins 5 % des suffrages (dont la liste gagnante). Et il n’y pas de second tour.
Si aucune liste ne recueille la majorité au premier tour, un second tour est organisé la semaine suivante. Pour participer au second tour, un candidat doit avoir réuni au moins 10% des suffrages exprimés. La liste qui arrive en tête lors de cette seconde étape remporte le quart des sièges à pourvoir. Le reste des sièges est réparti proportionnellement entre les listes ayant au moins 5 % des suffrages exprimés.
Pour être candidat aux élections régionales, il faut être majeur, être domicilié dans la région, être inscrit sur une liste électorale et ne pas être privé de ses droits civiques et politiques.
Qui est candidat en Île-de-France ?
Dans la région Île-de-France, les candidats déclarés sont les suivants : Clémentine Autain (La France Insoumise) ; Audrey Pulvar (Parti socialiste) ; Julien Bayou (Europe Ecologie-Les Verts), Laurent Saint-Martin (La République en marche) ; Valérie Pécresse (Libres! et Les Républicains, présidente sortante) ; Jordan Bardella (Rassemblement nationwide) ; Nathalie Arthaud (Lutte ouvrière) et Alexis Villepelet (Debout la France). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Île-de-France.
Qui est candidat dans les Hauts-de-France ?
Dans la région des Hauts-de-France, les candidats déclarés sont les suivants : Karima Delli (Europe Ecologie-Les Verts, PS, PCF, LFI) ; Xavier Bertrand (LR, UDI, MoDem, président sortant) ; José Evrard (Debout la France) ; Sébastien Chenu (Rassemblement nationwide) ; Laurent Pietraszewski (La République en Marche) ; Eric Pecqueur (Lutte ouvrière) et Alexandre Audric (Parti des citoyens européens). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales dans les Hauts-de-France.
Qui est candidat dans la région Auvergne-Rhône-Alpes ?
Dans la région Auvergne-Rhône-Alpes, les candidats déclarés sont les suivants : Cécile Cukierman (Parti communiste et La France Insoumise) ; Fabienne Grébert (Europe Ecologie-Les Verts) ; Najat Vallaud-Belkacem (Parti socialiste) ; Bruno Bonnell (La République en marche) ; Laurent Wauquiez (Les Républicains, président sortant) ; Andréa Kotarac (Rassemblement nationwide) ; Chantal Gomez (Lutte ouvrière) ; Shella Gill (sans étiquette, liste “Union essentielle) et Farid Omeir (Union des démocrates musulmans français). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Auvergne-Rhône-Alpes.
Qui est candidat en Bretagne ?
En Bretagne, les candidats déclarés sont les suivants : Loïg Chesnais-Girard (Parti Socialiste, président sortant) ; Claire Desmares-Poirrier (Europe Ecologie-Les Verts) ; Marie-Madeleine Doré-Lucas et Pierre-Yves Cadalen (La France Insoumise) ; Isabelle Le Callennec (Les Républicains) ; Gilles Pennelle (Rassemblement nationwide) ; Thierry Burlot (UDI, MoDem, LREM) ; Joannic Martin (Parti Breton), David Cabas (Debout la France) ; Valérie Hamon (Lutte Ouvrière) ; Daniel Cueff (sans étiquette) ; Kamel Elahiar (Union des démocrate musulmans français) ; Yves Chauvel, liste “La Bretagne en héritage” ; et Christophe Daviet, liste “Un autre monde”. Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Bretagne.
Qui est candidat en Normandie ?
En Normandie, les candidats déclarés sont les suivants : Sébastien Jumel (Parti communiste et La France Insoumise) ; Laurent Bonnaterre (Sans étiquette soutenu par La République en marche) ; Mélanie Boulanger (Parti socialiste et Europe Ecologie-Les Verts) ; Hervé Morin (Les Centristes, président sortant) ; Nicolas Bay (Rassemblement nationwide) ; Pascal Le Manach (Lutte ouvrière) et Stéphanie Kerbarh (Sans étiquette) Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Bretagne.
Qui est candidat dans la région Grand-Est ?
Dans la région Grand-Est, les candidats déclarés sont les suivants : Éliane Romani (Europe Ecologie-les Verts – Parti socialiste – Parti communiste), Brigitte Klinkert (La République en marche) ; Jean Rottner (Les Républicains, candidat sortant) ; Laurent Jacobelli (Rassemblement nationwide) ; Florian Philippot (Les Patriotes) ; Louise Fève (Lutte Ouvrière) ; Aurélie Filippetti (La France Insoumise, parti radical de gauche) ; Martin Meyer (Unser Land – mouvement autonomiste alsacien) ; Adil Tyana (Union démocrate des musulmans français) ; Jean-Philippe Golly, liste “Un notre monde Grand Est. Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales dans le Grand-Est.
Qui est candidat dans la région Bourgogne-Franche-Comté ?
Dans la région Bourgogne-Franche-Comté, les candidats déclarés sont les suivants : Gilles Platret (Les Républicains) ; Julien Odoul (Rassemblement nationwide), Stéphanie Modde (Europe Écologie Les Verts), Denis Thuriot, (La République en Marche et le MoDem) ; Bastien Faudot (Union de gauche) ; Marie-Guite Dufay (Parti socialiste, présidente sortante) ; Claire Rocher (Lutte Ouvrière). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Bourgogne-Franche-Comté.
Qui est candidat dans le Centre-Val-de-Loire ?
Dans le Centre-Val-de-Loire, les candidats déclarés sont les suivants : Nicolas Forissier (Les Républicains) ; Aleksandar Nikolic (Rassemblement nationwide) ; François Bonneau (Parti socialiste et parti communiste, président sortant) ; Charles Fournier (Europe Ecologie-Les Verts), Marc Fesneau (Modem, La République en marche); Ferida Megdoud (Lutte Ouvrière) et Christelle de Crémiers (Démocratie EcoLogique). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Centre-Val de Loire.
Qui est candidat dans les Pays de la Loire ?
Dans la région Pays de la Loire, les candidats déclarés sont les suivants : Guillaume Garot (Parti socialiste) ; Matthieu Orphelin (Europe Ecologie-Les Verts – La France Insoumise) ; François de Rugy (La République en Marche) ; Christelle Morançais (Les Républicains, présidente sortante) ; Hervé Juvin (Rassemblement nationwide) ; Cécile Bayle de Jessé (Debout la France) ; Eddy Le Beller (Lutte ouvrière) et Linda Rigaudeau (Sans étiquette). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Pays de la Loire.
Qui est candidat dans la région Nouvelle Aquitaine ?
Dans la région Nouvelle Aquitaine, les candidats déclarés sont les suivants : Nicolas Thierry (Europe Ecologie-Les Verts) ; Alain Rousset (Parti socialiste, président sortant) ; Geneviève Darrieussecq (MoDem, La République en Marche) ; Nicolas Florian (Les Républicains) ; Edwige Diaz (Rassemblement nationwide) ; Clémence Guetté (France Insoumise) ; Eddie Puyjalon (Mouvement de la ruralité (LMR) et Résistons) ; Guillaume Perchet (Lutte ouvrière). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Nouvelle Aquitaine.
Qui est candidat dans en Provence-Alpes-Côte-d’Azur ?
Dans la région PACA, les candidats sont les suivants : le président sortant de la région, Renaud Muselier (Les Républicains) ;Noël Chuisano (Debout la France) ; Thierry Mariani (Rassemblement nationwide) ; Jean-Laurent Félizia (Europe Ecologie-Les Verts – Parti socialiste) ; Hervé Guerrera (Parti Occitan) ; Jean-Marc Governatori (Cap Ecologie) et Isabelle Bonnet (Lutte Ouvrière). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en PACA.
Qui est candidat en Occitanie ?
Dans la région Occitanie, les candidats déclarés sont les suivants : Myriam Martin (La France Insoumise) ; Antoine Maurice (Europe Ecologie-Les Verts) ; Carole Delga (Parti socialiste, présidente sortante) ; Jean-Paul Garraud (Rassemblement nationwide) ; Vincent Terrail-Novès (La République en Marche) ; Aurélien Pradié (Les Républicains) ; Malena Adrada (Lutte ouvrière) et Jean-Luc Davezac (Occitanie Pais Nostres). Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales en Occitanie.
Qui est candidat aux élections territoriales en Corse ?
Dans la région Corse, les candidats déclarés sont les suivants : Gilles Simeoni (Femu a Corsica, président sortant) ; Laurent Marcangeli (Comité central bonapartiste) ; François Filoni (RN) ; Jean-Man Talamoni (Corsica Libera) ; Jean-Christophe Angelini (Parti de la Nation Corse) ; Paul-Felix Benedetti (Core In Fronte) ; Jean-Charles Orsucci (LREM) ; Michel Stefani et Anissa Flore Amziane (PCF) ; Jean-Antoine Giacomi (Forza Nova) et Agnès Simonpietri (Ecologia Sulidaria). Les élections territoriales en Corse bénéficient d’un statut à half pour le mode de désignation de ses élus. Retrouvez toutes les actualités et les résultats des sondages dans notre article consacrée aux élections régionales (territoriales) en Corse.